Pour Macron, l'Etat n'a pas à réduire sa part dans RENAULT
TOKYO (Reuters) - Emmanuel Macron a déclaré jeudi que rien ne justifiait une baisse de la participation de l'Etat français au capital de Renault.
En déplacement au Japon pour un sommet du G20 prévu vendredi et samedi, le président français a souhaité que l'alliance Renault-Nissan oeuvre à un renforcement de ses synergies.
Les relations entre les constructeurs français et japonais se sont tendues depuis l'arrestation en novembre au Japon de l'architecte et ancien président de l'alliance, Carlos Ghosn, soupçonné de malversations financières qu'il dément.