Le groupe américain GENERAL ELECTRIC a fait part le 28 mai de sa volonté de supprimer plus de 1000 postes en France, dans la branche turbines à gaz et au sein des services supports, principalement sur le site de Belfort et en région parisienne. Face aux inquiétudes des salariés et des élus locaux de Belfort, site en première ligne, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire s'est engagé à préserver "l'avenir industriel de Belfort" en mettant la pression à GE pour qu'il se montre "exemplaire" dans ce plan social. Le président de la République Emmanuel Macron a quant à lui fait savoir que le gouvernement serait "extrêmement vigilant" sur ce dossier. De son côté, le patron de GE France assure que le site de Belfort "ne fermera pas".