L'heure n'est plus aux fleurets mouchetés: le PDG de
VEOLIA, qui cherche à mettre la main sur Suez, a qualifié jeudi de "pitoyable" la décision de son rival de créer un dispositif juridique compliquant fortement toute cession de la branche Eau française.
Les deux frères ennemis du traitement de l'eau sont à l'offensive tous azimuts, sur le terrain des mots, de la communication ou du droit.
Car le 30 septembre expire l'offre faite par
VEOLIA à Engie de lui racheter, pour 2,9 milliards d'euros, ses 29,9% d'actions dans Suez.