Médecine et réseaux sociaux: des clics et des claques
Une aide précieuse pour prendre les avis de collègues ou partager des expériences difficiles, mais des risques d'entorse à la déontologie et au secret médical, observés récemment sur un important groupe Facebook: pour les médecins, l'utilisation des réseaux sociaux est à double tranchant.
"Jusque dans les années 1995/97, chaque médecin était seul dans le désert. Internet les a amenés à parler entre eux", explique à l'AFP le généraliste Christian Lehmann, voix influente sur Twitter (11.600 abonnés).