Les start-up européennes doivent s’affirmer dans les demandes de brevets
La France est numéro deux en Europe pour attirer les investisseurs technologiques, d’après la dernière étude annuelle de l’Office européen des brevets (OEB), publiée jeudi 16 janvier. Mais ces financiers vont rarement au-delà de l’apport du capital d’amorçage, relève l’organisme, qui plaide pour une meilleure expertise des fonds sur la politique de dépôts des brevets des start-up.