En février, les investisseurs italiens ont plébiscité les fonds obligataires, qui ont raflé plus de 6 milliards d’euros nets, selon Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion d’actifs. En janvier, ils avaient déjà attiré 5,5 milliards d’euros, et la collecte sur les deux premiers mois de l’année ressort à 11,6 milliards d’euros.