
L’énergéticien, basé à Lausanne, a subi sur les six premiers mois de l’année des coups durs du côté de ses participations dans le nucléaire. La fermeture de la centrale de Gösgen, jusqu’en 2026, va lui coûter cher
Premier semestre difficile pour l’énergéticien Alpiq. Le groupe, qui siège à Lausanne et s’active dans dix pays d’Europe, a vu ses recettes et sa rentabilité chuter de janvier à juin. Il a notamment été lesté par la fermeture de la centrale nucléaire de Gösgen, débranchée pour des raisons techniques depuis le 23 mai, et par un fonds de gestion de déchets radioactifs.
Sur les six premiers mois de l’année, son résultat net a baissé de 14%, à 247 millions de francs. Son chiffre d’affaires s’est contracté de 2,1%, à 3,02 milliards.
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