L'irrésistible essor de ce financement par des acteurs non bancaires aboutit paradoxalement à ce que ces non-banques deviennent des « banques de troisième rang » ayant accès, sous certaines conditions de sécurité, aux banques elles-mêmes pour les financer. Un tel développement nécessite une grande vigilance des régulateurs chargés de la stabilité financière, prévient Vivien Levy-Garboua.