L’horlogerie réaffirme son attachement au partenariat social
La seizième convention collective de travail des industries horlogère et microtechnique a été signée vendredi matin à Neuchâtel. Avec plusieurs avancées jugées raisonnables
Toutes les revendications n’ont pas été entendues, mais les parties prenantes se sont accordées sur l’essentiel: la convention collective de travail fait partie des supports nécessaires pour assurer la pérennité des secteurs de l’horlogerie et de la microtechnique.
Les employeurs de l’industrie horlogère et le syndicat Unia ont signé vendredi une nouvelle convention collective de travail (CCT). L’accord concerne près de 55 000 collaborateurs et plus de 500 entreprises horlogères. Il entrera en vigueur en juillet pour une durée de cinq ans et demi. Les deux partenaires sociaux ont parlé d’une amélioration.
