L’art contemporain: un actif tangible pour diversifier son patrimoineDans un contexte économique instable, où les marchés financiers oscillent au rythme des tensions géopolitiques et des politiques monétaires, les investisseurs patrimoniaux cherchent des solutions différenciantes, décorrélées et résilientes. L’art contemporain – et plus particulièrement les œuvres «blue chips» – s’impose comme une classe d’actifs à part entière Un marché tangible, prestigieux et historiquement performantLongtemps réservé à une élite de collectionneurs et de marchands, le marché de l’art s’est progressivement structuré et ouvert. Selon le rapport Art Basel & UBS 2025¹, les objets de collection représentent désormais plus de 2174 milliards de dollars de patrimoine détenu par des particuliers. L’art contemporain et d’après-guerre constitue à lui seul plus de 50% de la valeur des ventes aux enchères mondiales. C’est surtout le segment des œuvres dites blue chips – valorisées entre 500 000 et 5 millions de dollars – qui concentre l’essentiel de la valeur et fait preuve d’une grande résilience. Ces pièces signées par des artistes comme Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat ou Pierre Soulages représentent moins de 2% des lots échangés, mais près de 50% de la valeur du marché. Autre donnée marquante: l’indice Artprice 100 – qui simule un portefeuille d’investissement dans les 100 artistes blue chips les plus performants du marché de l’art mondial – a surperformé le S&P 500 depuis l’an 2000. Bien sûr, les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Mais cette trajectoire souligne un intérêt croissant pour l’art comme actif patrimonial. Avertissement: les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi. Une décorrélation aux marchés financiers et une résistance aux crisesContrairement aux actions ou aux obligations, l’art ne fluctue pas au jour le jour en fonction des annonces macroéconomiques. Lors de la crise financière de 2008, le marché de l’art s’est rétabli en moins de vingt mois – bien plus rapidement que les indices actions. En 2024 encore, alors que les ventes globales ont reculé de 12% (rapport Art Basel & UBS 2025), les transactions sur les œuvres blue chips ont conservé leur stabilité, portées par une demande soutenue et une offre structurellement limitée. Outre la décorrélation, l’art présente une valeur refuge symbolique: actif tangible, non réplicable, porteur d’une charge culturelle forte, il reste prisé en période d’inflation ou de repli boursier. Il répond aussi aux attentes d’une nouvelle génération d’investisseurs – plus sensibles à la passion, au sens, à la transmission. Un modèle d’accès innovant: le co-investissementJusqu’à récemment, intégrer une œuvre majeure dans son portefeuille impliquait une mise initiale de plusieurs centaines de milliers, voire millions d’euros. C’est là que l’innovation introduite par des acteurs comme Matis change la donne. Première société française réglementée par l’AMF sur ce modèle, Matis permet aux investisseurs d’accéder à ces œuvres via des structures de co-investissement accessibles à partir de 20 000 euros. Chaque projet consiste à co-investir dans une œuvre sélectionnée selon des critères stricts (notoriété de l’artiste, liquidité historique, valorisation raisonnable, potentiel muséal, etc.). L’œuvre est acquise via une société dédiée, puis confiée à une galerie partenaire spécialiste de l’artiste concerné, afin de revendre l’œuvre aux bons collectionneurs. Les investisseurs reçoivent alors leur quote-part de la plus-value (non garantie), le cas échéant. Depuis mai 2023, Matis a financé plus de 50 œuvres majeures, dont 10 ont déjà été revendues. La performance nette moyenne investisseur² s’élève à 16,5% sur un cycle d’investissement moyen de 7,9 mois, avec un TRI annualisé net de frais³ de 58,2% (données arrêtées au 8 janvier 2025). Avertissement: les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi. Un placement alternatif, patrimonial et culturelLoin des effets de mode, l’investissement dans l’art peut s’intégrer dans une stratégie de diversification de long terme, à la frontière entre la gestion d’actifs, le patrimoine tangible et l’émotion personnelle. Le modèle proposé par Matis permet à des investisseurs exigeants de s’exposer à des œuvres iconiques, tout en profitant d’un cadre réglementé, d’une sélection rigoureuse et d’un accompagnement haut de gamme. Dans un monde où les repères économiques se brouillent, l’art offre une nouvelle manière d’investir: plus humaine, plus stable, plus patrimoniale. -> Pour en savoir plus sur les opportunités actuellement proposées à l’investissement, rendez-vous sur le site de Matis pour créer votre compte investisseur.
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