L'ancien trader de la Société générale, Jérôme Kerviel, repart en janvier à l'assaut des tribunaux: au pénal il a été condamné à 5 ans de prison (donc 3 ferme) pour dissimulation de ses gigantesques prises de risque sur les marchés en 2008, procès qu'il tente de faire réviser. Au civil, la cour d'appel doit fixer les dommages et intérêts réclamés, initialement de 4,9 milliards d'euros. L'affaire, très médiatisée, soulève l'opacité des pratiques des banques.