(Reuters) - L'Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé mercredi qu'elle étudiait trois affections afin de déterminer si elles peuvent constituer des effets secondaires des vaccins contre le COVID-19 mis au point par
PFIZER et Moderna après avoir recensé un petit nombre de cas.
L'érythème polymorphe, une forme de réaction allergique cutanée, ainsi que la glomérulonéphrite et le syndrome néphrotique, qui touchent l'un et l'autre les reins, font l'objet d'étude du comité de sécurité de l'EMA, a-t-elle précisé.
Le mois dernier, l'agence européenne, qui a autorisé les vaccins, a identifié un lien possible entre de très rares cas d'inflammation du muscle cardiaque et les vaccins utilisant la technologie de l'ARN messager, ceux de
PFIZER et Moderna.