PARIS (Reuters) -
GOOGLE a accepté de verser 500 millions d'euros d'amende dans le cadre d'un accord, homologué jeudi par la justice, qui solde un dossier de fraude fiscale mené pendant quatre ans par le Parquet national financier.
Le paiement se fera via les sociétés
GOOGLE France et
GOOGLE Ireland, selon les termes de cette convention judiciaire d'intérêt public (CJIP), signée le 3 septembre après quatre mois de négociations secrètes entre le parquet et les représentants du géant du numérique.
Cet accord "ne vaut pas reconnaissance de culpabilité" mais permet "d'aller de l'avant et de régler une fois pour toute ces contentieux passés", a insisté Me Antonin Lévy, l'un des avocats de
GOOGLE, lors de l'audience au tribunal de Paris.