Enfance et réseaux sociaux: après Facebook, les sénateurs étrillent TikTok, Snapchat et YouTube
Les projecteurs se sont braqués mardi sur TikTok, Snapchat et YouTube, accusés, comme Facebook, de nuire à la santé mentale et physique des enfants en les surexposant aux vies apparemment idéales d'autres personnes, ainsi qu'à des images et publicités inappropriées.
Des représentants de ces trois plateformes, ultra populaires auprès des jeunes, ont tenté de prouver à des sénateurs américains qu'ils s'en sortaient mieux que Facebook sur ces sujets.
Mais Facebook et son application Instagram n'ont pas le monopole du mal-être adolescent, ont rétorqué les élus.