
Le président argentin, Javier Milei, s’est vu remettre vendredi en fin d’après-midi le Prix Röpke de l’Institut libéral. Son mérite? Jouer un «rôle de pionnier international dans la lutte contre l’Etat tentaculaire». Ambiance concert de rock, mais veston et tailleur, pour le tribun devenu porte-drapeau des forces politiques libérales et libertariennes
Ce fut un match à domicile pour le président argentin, Javier Milei, vendredi en fin d’après-midi du côté de Kloten, à quelques encablures de l’aéroport. La figure de proue des libéraux et libertariens du monde entier s’est vu remettre le Prix Röpke pour la société civile de l’Institut libéral devant environ 600 personnes acquises à sa cause. Son mérite? Jouer un «rôle de pionnier international dans la lutte contre l’Etat tentaculaire».
Le public a été chauffé par de la musique et des discours introductifs fustigeant le socialisme, le tout à l’Etat, les attaques contre les libertés, etc. Rien de très surprenant mais des propos diablement efficaces devant un tel public, qui a plusieurs fois scandé: «Libertad, libertad!» Ambiance concert de rock, mais en veston et tailleur tout de même.
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