Chez ARCELORMITTAL à Tarente, des ouvriers "entre colère et résignation"
"Mittal ne se désengage pas, il s'enfuit parce cette usine a été très mal gérée", constate amèrement Pasquale Maggi, 41 ans, un ouvrier de l'usine d'ARCELORMITTAL à Tarente (sud) d'où le magnat indo-britannique Lashkmi Mittal veut se retirer.
Le Premier ministre italien Giuseppe Conte a fait savoir mercredi soir que le groupe ArceloMittal, qui a repris les rênes de l'ex-Ilva depuis un an seulement, avait exigé 5.000 suppressions d'emplois sur le site pour continuer à le gérer, une proposition "inacceptable" pour Rome. M.