Faire ses courses chez les «hard discounters» n’est plus forcément le signe de difficultés financières. L’image de ceux que Migros prend désormais très au sérieux a changé
«Au début, l’idée d’aller chez Lidl ou Aldi ne m’enchantait pas du tout. J’avais essayé il y a des années et je n’aimais pas l’allure qu’avaient les produits. Mais une amie zurichoise qui a un bon revenu m’a dit qu’elle faisait souvent ses courses au Lidl qui se trouve à deux pas de la Paradeplatz (cœur de la place financière zurichoise), ça m’a surprise. J’ai redonné une chance à ces enseignes et maintenant j’aime beaucoup y aller.»