L’État prépare activement la privatisation de l’établissement aéroportuaire. Il est toutefois face à un dilemme difficile à trancher : va-t-il vendre peu de titres de manière à garder une influence sur les décisions futures, quitte à récupérer moins que prévu? Ou lâcher un large bloc, qui pousserait un seul acquéreur à lancer une OPA ?