La plateforme chinoise Temu, inexistante il y a deux ans, cartonne grâce à ses prix cassés, mais est accusée d'y parvenir en poussant à la surconsommation et grâce à des conditions de travail contestables.
"À côté,
AMAZON, ce sont des enfants de chœur", résume pour l'AFP Valérie Fayard, directrice générale déléguée d'Emmaüs France et porte-parole du collectif Stop fast-fashion.
Si son compatriote Shein se cantonne à la mode, Temu chasse sur les terres du géant américain, avec un choix pléthorique de produits: vêtements, jouets, décoration, outils, high-tech.