
Le transporteur a présenté vendredi à Cointrin le «Lausanne», un appareil moins bruyant et plus propre, qui doit incarner l’avenir de la compagnie. Le présent, lui, est beaucoup plus morose
Il est décoré de dessins d’un skieur, d’un chamois ailé, du pont de Lucerne ou d’un téléphérique. Stanislas Wawrinka est son parrain et le syndic de Lausanne, Grégoire Junod, était présent, vendredi à Cointrin, pour l’accueillir. Le «Lausanne» est le nouvel étendard de Swiss, un Airbus A350, présenté comme deux fois moins bruyant que les avions de la génération précédente, et qui émet 25% de CO2 en moins.
Il y avait du monde vendredi dans le hangar de Swiss à Genève, qui en temps normal se dédie aux entretiens des A220. Et des beaux discours. Jens Fehling, le patron de Swiss, a évoqué un «moment de fierté» à propos du nouvel appareil. La directrice commerciale Heike Birlenbach s’est réjouie d’une «nouvelle ère» et Grégoire Junod a parlé d’un «grand honneur» tandis que des mignardises d’un chef étoilé étaient distribuées.
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