Porté par les grandes capitalisations, le style croissance s’envole
Les marchés boursiers ont amorcé l’année avec optimisme, portés par l’espoir d’un atterrissage en douceur, voire d’aucun atterrissage en 2024. En janvier, la Fed et la BCE sont restées prudentes et ont toutes deux indiqué attendre davantage de données, notamment celles du premier trimestre 2024, laissant présager une potentielle baisse des taux dès cet été. En conséquence, les marchés ont légèrement révisé à la baisse leurs anticipations de baisse des taux, tandis que les rendements des obligations souveraines se sont ajustés.