es actifs réels ouvrent leurs portes à un public plus large. Au centre de l’attention depuis plusieurs mois, ils font l’unanimité tant pour leur capacité à participer à des projets publics et sociétaux que pour leurs performances au-dessus de la moyenne du marché. Mais dans la vie comme sur le papier, cette nouvelle gamme exige un niveau de connaissance élevé et des montages financiers complexes, contrairement à d’autres supports. Alors, qu’en est-il des family offices et des banquiers privés, présents sur ce champ d’actions pour leurs clients fortunés depuis plusieurs années ? Quels sont les domaines de prédilection des clients actuels ? Voient-ils cette démocratisation d’un bon œil ? Pourrait-elle représenter une certaine forme de compétition pour les clients déjà existants ?