Alors que Guy Parmelin annonçait en janvier qu’un accord de libre-échange entre l’Inde et l’AELE était à bout touchant, plusieurs ONG s’inquiètent de certaines dispositions qui pourraient entraver le développement de médicaments génériques
Depuis seize ans, les négociations d’un accord de libre-échange entre l’Inde et l’Association européenne de libre-échange (AELE) réunissant l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse, se déroulent dans le plus grand des secrets. Après plusieurs coups d’arrêt, Guy Parmelin a annoncé en janvier un soudain déblocage et a indiqué qu’un consensus sur les grandes lignes a été trouvé.
Mais la semaine dernière plusieurs ONG sonnaient l’alarme. Médecins sans frontières (MSF), Public Eye et le Delhi Network of Positive People (une association regroupant des malades indiens touchés par le VIH) s’inquiétaient cependant de l’inclusion de droits de propriété intellectuelle dépassant les normes internationales au sein de cet accord.
Voir plus