Epilogue judiciaire de l'affaire des faux espions de RENAULT
L'affaire des "faux espions" de RENAULT, une histoire d'espionnage inventée de toutes pièces mais qui a conduit au licenciement de trois cadres du constructeur automobile, va connaître jeudi son épilogue judiciaire avec la décision attendue du tribunal correctionnel de Paris.
Le parquet a requis quatre ans de prison avec sursis et une amende de 100.000 euros à l'encontre du principal prévenu, Dominique Gevrey, 65 ans, un ancien officier de la direction de la protection et de la sécurité de la défense (DSPD), reconverti dans la sécurité privée et recruté par Renault.
L'accusation le soupçonne d'avoir "trompé" RENAULT pour lui soutirer plus de 318.000 euros pour payer une "source" qui.