Le jeu, sorti le 7 décembre sur PC, PS5 et Xbox Series, fait la part belle à l’exploration. S’il n’est pas exempt de défauts, il propose une aventure qui change des productions récentes de l’éditeur français
L’éditeur français UBISOFT pourrait bien avoir enfin pris en compte l’avis des joueurs sur son approche des jeux en monde ouvert. C’est du moins ce que suggère l’expérience offerte par Avatar: Frontiers of Pandora, sorti le 7 décembre sur PC, PS5 et Xbox Series. Le titre, développé par le studio Massive Entertainment – à qui l’on doit Farcry 3 notamment –, apporte un vent de fraîcheur dans la formule traditionnelle d’Ubisoft. Le Temps a pu le tester sur PS5 (grâce à une clé envoyée par l’éditeur).
Sur Pandora, la planète où vivent les Na’Vi, ces grandes créatures extraterrestres bleues créées par le réalisateur américain James Cameron, la carte du monde n’est pas parsemée de points d’intérêt, comme dans Assassin’s Creed Valhalla par exemple. Le jeu à la première personne (FPS), qui fait la part belle à la narration visuelle, propose aux joueurs de se repérer dans cette gigantesque forêt en s’appuyant sur des descriptions des objectifs à atteindre, en lieu et place des sempiternelles balises.
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