Communication Officielle
Mercredi 10 février 2021, 07h00 (il y a 38 mois) Société Générale : Résultats du 4eme trimestre et de l'année 2020
Communiqué de presse T4-20 : CONFIRMATION DE L’AMÉLIORATION DES PERFORMANCES COMMERCIALES ET FINANCIÈRES Résilience des revenus dans un contexte toujours marqué par la crise ( 1,6%*/T3-20, -2,3%*/T4-19) Maintien de la discipline dans la gestion des coûts (-3,0%(1)*/T4-19) avec un effet de ciseaux positif ANNÉE 2020 : GESTION RESPONSABLE DE LA CRISE, RÉSILIENCE DES MÉTIERS ET SOLIDITÉ DU BILAN Accompagnement permanent des clients, mobilisation exceptionnelle des collaborateurs PRIORITÉ 2021 : EXÉCUTION DISCIPLINÉE DE LA FEUILLE DE ROUTE STRATÉGIQUE Première année de préparation du rapprochement des réseaux Société Générale et Crédit du Nord Frédéric Oudéa, Directeur Général du Groupe, a commenté : 1. RÉSULTATS CONSOLIDÉS DU GROUPE
(1) Ajusté des éléments exceptionnels et de la linéarisation d’IFRIC 21 Le Conseil d’administration de Société Générale, réuni le 9 février 2021 sous la présidence de Lorenzo Bini Smaghi, a examiné les résultats du quatrième trimestre et arrêté le résultat de l’année 2020 du Groupe Société Générale. Les différents retraitements permettant le passage des données sous-jacentes aux données publiées sont présentés dans les notes méthodologiques (§10.5). Produit net bancaire L’année 2020 a été marquée par une crise sanitaire mondiale se traduisant par un produit net bancaire du Groupe de 22 113 millions d’euros, en retrait de -7,6%* par rapport à 2019. Après un premier semestre marqué par les effets de la crise sanitaire et une dislocation des métiers, la performance des trois métiers s’est nettement améliorée au deuxième semestre, dans un environnement toujours incertain. Le produit net bancaire hors provision PEL/CEL des activités de la Banque de détail en France affiche une progression sur le second semestre 2020 de 2% par rapport au premier semestre avec une contraction annuelle de -6,1% par rapport à 2019. La dynamique de rebond semestriel s’observe également sur les revenus de la Banque de détail et Services Financiers Internationaux ( 2,6%* /S1-20) ; son évolution annuelle est de -2,9%*. Le produit net bancaire de la Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs sur le second semestre est également en fort rebond de 17% par rapport au premier semestre dans un contexte de normalisation des conditions de marché. Sur l’année, les revenus sont en baisse de -12,5% (-11,8%*). Le quatrième trimestre confirme l’amélioration des revenus observée au troisième trimestre, et ce malgré le durcissement de la crise sanitaire dans plusieurs géographies. Les trois métiers contribuent à la croissance du produit net bancaire du Groupe qui ressort ainsi à 5 838 millions d’euros en hausse de 1,6%* à périmètre et change constant par rapport au T3-20. Frais de gestion Les frais de gestion sous-jacents sont en forte baisse sur l’année à 16 504 millions d’euros en (-5,2%/2019, -2,8%*), en ligne avec la cible annuelle. Les frais de gestion intègrent une charge de restructuration de 210 millions d’euros comptabilisée au quatrième trimestre et ressortent de fait à 16 714 millions d’euros, en baisse de -5,7% par rapport à 2019 (-3,4%*). Ils intégraient une provision pour restructuration de 316 millions d’euros en 2019. L’ensemble des métiers du Groupe contribuent à cette contraction : les coûts de la Banque de détail en France sont en retrait de -4,9% par rapport à 2019, ceux de la Banque de détail et Services Financiers Internationaux reculent de -9,6% sur l’année et ceux de la Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs de -8,7%. Le Groupe s’engage à une baisse de ses frais de gestion sous-jacents à compter de 2023 par rapport à 2020. Plusieurs initiatives, déjà lancées, contribueront à cette dynamique avec des bénéfices attendus dès 2022 (une baisse des coûts sous-jacents d’environ 450 millions d’euros dans les Activités de Marché d’ici 2022/2023 et d’environ 450 millions d’euros dans la Banque de détail en France à horizon 2025 - dont environ 80% devrait être réalisée dès 2024 - ainsi que des réductions additionnelles attendues notamment suite à la finalisation des efforts de remédiation et l’industrialisation des process). Sur l’année 2021, le Groupe entend poursuivre une gestion stricte de ses coûts et vise un effet ciseaux positif avec des coûts légèrement en hausse. Au quatrième trimestre, les frais de gestion sous-jacents ressortent à 4 318 millions d’euros en baisse de -6,0% par rapport à T4-19, après retraitement d’une charge de restructuration de 210 millions d’euros et une charge au titre de l’ajustement d’IFRIC 21 de -177 millions d’euros. A périmètre et change constant, les frais généraux sous-jacents sont en baisse de -3%, permettant un effet de ciseaux positif. Coût du risque Le coût du risque commercial est de 64 points de base en 2020 soit un coût net du risque de 3 306 millions d’euros (1 278 millions d’euros en 2019). Cette hausse s’explique majoritairement par une augmentation des provisions au titre des encours sains (classés en Etape 1 et Etape 2) pour un montant total de 1 367 millions d’euros dont 1 010 millions d’euros d’impact sont liés à la revue des scénarios macro-économiques. Le taux brut d’encours douteux est resté à des niveaux bas tout au long de l’année et s’élève à 3,3%(2) au 31 décembre 2020 (3,1% au 31 décembre 2019). Le taux de couverture brut des encours douteux du Groupe s’établit à 52%(3) au 31 décembre 2020 (56% au 31 décembre 2019). Sur le quatrième trimestre, le coût du risque commercial ressort à 54 points de base (40 points de base au T3-20 et 29 points de base au T4-19). Le coût net du risque de 689 millions d’euros intègre des provisions relatives aux encours sains (classés en Etape 1 et Etape 2) pour un montant total de 367 millions d’euros. Le montant total des moratoires au sens de la définition de l’EBA accordés à fin septembre 2020 était d’environ 35 milliards d’euros, dont environ 5 milliards d’euros toujours en vigueur au 31 décembre 2020. Sur le total des moratoires accordés au 31 décembre 2020, 2,2% sont classés en Etape 3 (encours douteux). Le Groupe a également accordé 19 milliards d’euros de prêts garantis d’état sur l’ensemble de ses géographies dont 18 milliards en France. L’exposition nette du Groupe sur les prêts garantis par l’Etat en France (« PGE ») est d’environ 2 milliards d’euros. Au 31 décembre 2020, 2,3% des prêts garantis par l’Etat sont classés en Etape 3 (encours douteux). En 2021, le Groupe s’attend à un coût du risque commercial en baisse par rapport à celui de 2020. Gains ou pertes nets sur autres actifs Le poste « Gains et pertes nets sur autres actifs » s’élève à -12 millions d’euros en 2020 et -94 millions d’euros au T4-20. Résultat net part du Groupe
Distribution aux actionnaires Le Conseil d’administration a décidé de proposer à l’Assemblée générale ordinaire des actionnaires du 18 mai 2021 le versement d’un dividende de 0,55 euro par action en numéraire selon la méthodologie recommandée par la Banque Centrale Européenne (« BCE »). Le dividende sera détaché le 25 mai 2021 et mis en paiement le 27 mai 2021. Le Groupe envisage de lancer un programme de rachat d’actions, au quatrième trimestre 2021, d’un montant équivalent à celui consacré au paiement du dividende (environ 470 M EUR, soit un impact d’environ 13 points de base sur le ratio CET1 du Groupe), sous réserve de la non-reconduction de la recommandation de la BCE et de l’autorisation de sa mise en œuvre. Le ratio proforma non-phasé serait de 13% à fin décembre 2020 (ratio proforma phasé de 13,3%). Informations complémentaires Le Conseil d’administration de Société Générale réuni le 14 janvier 2021, a décidé de soumettre à l’Assemblée Générale des actionnaires de mai 2024, qui approuvera les comptes de l’exercice 2023, la nomination des cabinets KPMG et PwC à compter du 1er janvier 2024 en qualité de commissaire aux comptes pour un mandat de 6 ans en remplacement des cabinets Deloitte et EY, dont les mandats arriveront alors à échéance et qui ne pourront plus être renouvelés en application des dispositions légales. Cette décision fait suite à un processus d’appel d’offres piloté sous la supervision du comité d’audit et de contrôle interne. Le comité a auditionné tous les candidats et exercé son choix de manière indépendante du management. Il a présenté au Conseil d’administration les différents choix possibles avant de formuler sa proposition. 2. STRUCTURE FINANCIÈRE DU GROUPE Au 31 décembre 2020, les capitaux propres part du Groupe s’élèvent à 61,7 milliards d’euros, l’actif net par action est de 62,3 euros et l’actif net tangible par action est de 54,8 euros. Le total du bilan consolidé s’établit à 1 462 milliards d’euros au 31 décembre 2020. Le montant net des encours de crédits à la clientèle, y compris la location-financement, au 31 décembre 2020 est de 440 milliards d’euros (430 milliards d’euros au 31 décembre 2019) – hors valeurs et titres reçus en pension. Parallèlement les dépôts de la clientèle atteignent 451 milliards d’euros, contre 410 milliards d’euros au 31 décembre 2019 (hors valeurs et titres donnés en pension). A fin décembre 2020, la maison mère a émis 34,3 milliards d’euros de dette à moyen et long terme (dont 3,9 milliards d’euros de pré-financement du programme 2021), avec une maturité moyenne de 5,4 ans et un spread moyen de 59 points de base (par rapport au mid-swap 6 mois, hors dette subordonnée). Les filiales ont émis 2,9 milliards d’euros. Au total, au 31 décembre 2020, le Groupe a émis 37,2 milliards d’euros de dette à moyen et long terme. Le LCR (Liquidity Coverage Ratio) s’inscrit bien au-dessus des exigences réglementaires à 149% à fin décembre 2020 (153% en moyenne sur le trimestre), contre 119% à fin décembre 2019. Parallèlement, le NSFR (Net Stable Funding Ratio) est à un niveau supérieur à 100% à fin décembre 2020. Les encours pondérés par les risques (RWA) du Groupe s’élèvent à 352,4 milliards d’euros au 31 décembre 2020 (contre 345,0 milliards d’euros à fin décembre 2019) selon les règles CRR/CRD4. Les encours pondérés au titre du risque de crédit représentent 81,7% du total, à 287,9 milliards d’euros, en hausse de 1,9% par rapport au 31 décembre 2019. Au 31 décembre 2020, le ratio Common Equity Tier 1 du Groupe s’établit à 13,4% (soit environ 440 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire). Le ratio CET1 au 31 décembre 2020 inclut un effet de 28 points de base au titre du phasage de l’impact IFRS 9. Hors cet effet, le ratio non phasé s’élève à 13,2%. Le ratio Tier 1 s’élève à 15,7%(1) à fin décembre 2020 (15,1% à fin décembre 2019) et le ratio global de solvabilité s’établit à 18,9%(1) (18,3% à fin décembre 2019). Le Groupe vise à se piloter avec un ratio de CET1 supérieur à 200 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire y compris après l’entrée en vigueur de la réglementation finalisant la réforme Bâle III dont l’impact serait de l’ordre 39 milliards d’euros(2) à compter de 2023, soit environ 115 points de base(3). En 2021, le ratio de CET1 est attendu à un niveau significativement supérieur à 200 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire. Le ratio de levier atteint 4,7%(1) au 31 décembre 2020 (4,3% à fin décembre 2019). Avec un niveau de 30,6%(1) des RWA et 9,2%(1) de l’exposition levier à fin décembre 2020, le Groupe présente un TLAC supérieur aux exigences du FSB pour 2020. Au 31 décembre 2020, le Groupe est aussi au-dessus de ses exigences MREL qui sont de 8,51% du TLOF(4) (ce qui représentait à décembre 2017 un niveau de 24,4% des RWA), lesquels ont servi de référence au calibrage du CRU. Le Groupe est noté par quatre agences de notation : (i) Fitch Ratings - notation long terme « A- », perspectives stables, notation dette senior préférée « A », notation court-terme « F1 » ; (ii) Moody’s - notation long terme (dette senior préférée) « A1 », perspectives stables, notation court-terme « P-1 »; (iii) R&I - notation long terme (dette senior préférée) « A », perspectives stables ; et (iv) S&P Global Ratings - notation long terme (dette senior préférée) « A », perspectives négatives, notation court-terme « A-1 ». 3. BANQUE DE DÉTAIL EN FRANCE
(1) Ajusté de la linéarisation d’IFRIC 21, de la provision PEL/CEL Après le fort impact du confinement sur l’activité en début d’année, la performance commerciale de la Banque de détail en France continue à s’améliorer au quatrième trimestre. Les enseignes continuent à développer leur activité sur les métiers coeurs Sur le segment Entreprises et professionnels, la banque a accompagné ses clients en France notamment à travers l’octroi de PGE, pour lesquels elle a reçu plus de 98 200 demandes pour un montant total décaissé de 18 milliards d’euros. L’assurance-vie a vu sa collecte croître de 7,5% /T3 20 et bénéficie d’une part d’unités de compte dans la production T4-20 de 39%. Les primes de protection de biens et de personnes affichent de bonnes performances en hausse de 3,9% /2019. Le nombre de contrats de Protection des personnes est en progression de 5.3% /2019. En banque privée la collecte nette demeure soutenue à 553 millions d’euros sur le T4-20 et 2,5 milliards sur l’année. Boursorama consolide sa position de leader de la banque en ligne en France, atteignant plus de 2,6 millions de clients à fin décembre 2020. La conquête client de BOURSORAMA a atteint un niveau record avec environ 590 000 nouveaux clients en 2020 dont environ 192 000 au T4-20. La production de prêts immobiliers présente une forte croissance de 22% /T4-19, atteignant un niveau record au T4-20. De plus le nombre d’ordres de bourse a triplé par rapport à 2019. Les encours moyens de crédits d’investissement (y compris crédit-bail) progressent de 25,0% par rapport au T4-19 à 88,9 milliards d’euros ( 2,3% hors prêts garantis par l’Etat). Les encours moyens de crédits aux particuliers sont en hausse de 2,8% à 123,2 milliards d’euros, soutenus par le crédit à l’habitat qui est en hausse de 3,5% /T4-19. Les actifs sous gestion de la banque privée ont atteint 70,4 milliards d’euros à fin décembre 2020. Les encours moyens de dépôts au bilan(4) sont en hausse de 15,1% par rapport au T4-19 à 242,6 milliards d’euros, toujours portés par les dépôts à vue ( 18,7% par rapport au T4-19). Le ratio crédits sur dépôts moyens ressort ainsi à 92% au T4-20 vs. 96% au T4-19. Produit net bancaire hors PEL/CEL Sur l’année, les revenus hors PEL/CEL ressortent à 7 381 MEUR, en baisse de -6,1% par rapport à 2019, reflétant les effets du Covid-19 et de l’environnement de taux bas. La marge nette d’intérêt hors PEL/CEL est en baisse de -3,6%(5) et les commissions sont en recul de -5,7%(1). Sur le trimestre, les revenus hors PEL/CEL ressortent à 1 870 M EUR en progression de 0,7% par rapport au T3-20 et en baisse de -5,0% par rapport au T4-19. Frais de gestion Sur l’année, les frais de gestion sont en baisse à 5 418 M EUR (-4,9% par rapport à 2019 et -5.5% hors Boursorama). Le coefficient d’exploitation (retraité de la provision PEL/CEL) s’établit à 73,4%. Sur le trimestre, les frais de gestion sont en baisse à 1 443 M EUR (-3,2% par rapport au T4-19) illustrant le travail du Groupe sur les coûts. Le coefficient d’exploitation (après linéarisation de la charge d’IFRIC 21 et retraité de la provision PEL/CEL) s’établit à 78,9%. Coût du risque Sur l’année, le coût du risque commercial s’établit à 1 097 M EUR soit 52 points de base, en hausse par rapport au 2019 (année à laquelle il s’était établi à 467 MEUR où 24 pb), réparti entre 646 M EUR de provisionnement S1/S2 et 451 M EUR de provisionnement S3 (encours non performants). Sur le trimestre, le coût du risque commercial s’établit à 276 M EUR soit 50 points de base. Il correspond à 236 M EUR de provisionnement S1/S2 (encours sains et sensibles) et 41 M EUR de provisionnement S3 (encours non performants). Résultat net part du Groupe Sur l’année, le résultat net part du Groupe s’établit à 666 M EUR (-41,1%/2019). La rentabilité (retraitée de la provision PEL/CEL) ressort à un niveau de 6,2% sur l’année 2020. Sur le trimestre, le résultat net part du Groupe s’établit à 104 M EUR. La rentabilité (après linéarisation de la charge d’IFRIC 21 et retraitée de la provision PEL/CEL) ressort à un niveau de 3,5% et en excluant BOURSORAMA, ressort à 5,0%.
4. BANQUE DE DÉTAIL ET SERVICES FINANCIERS INTERNATIONAUX
(1) Corrigé de l’application d’IFRIC 21 et de la provision pour restructuration de 34 millions d’euros sur l’exercice 2019 (dont 5 millions d’euros au T4-19). Dans la Banque de détail à l’International, le rebond observé au second semestre sur la production de crédits et de dépôts se confirme, malgré les nouvelles mesures de confinement du quatrième trimestre. Les encours de crédits s’établissent à 85,9 milliards d’euros ; ils progressent de 2,5%* par rapport à fin décembre 2019 (-2,8% à périmètre et change courants compte tenu notamment de la cession de SG Antilles et de l’effet change en Russie). Les encours de dépôts sont en hausse de 8,8%* ( 2,0% à périmètre et change courants) par rapport à décembre 2019, à 79,6 milliards d’euros. Sur le périmètre Europe, les encours de crédits sont en hausse de 2,8%*par rapport à décembre 2019 à 54,9 milliards d’euros ( 1,0% à périmètre et change courants), portés par la République Tchèque ( 4,6%*, 1,2%) et dans une moindre mesure l’Europe de l’Ouest ( 2.0%*). Les encours des dépôts sont en hausse de 8,2%*( 5,3% à périmètre et change courants), avec une bonne dynamique en République Tchèque ( 8,9%*, 5,4%). En Russie, les encours de crédits enregistrent une progression de 2,7%* à change constant (-21,5% à change courant) et les encours de dépôts affichent une forte hausse de 13,7%* (-13,0% à change courant). En Afrique, Bassin méditerranéen et Outre-Mer, les encours de crédits progressent de 1,8%* (soit -2,7%) par rapport à décembre 2019 et les encours de dépôts, en hausse de 7,9%* ( 3,4%), affichent une bonne dynamique. Dans l’activité Assurances, l’activité d’assurance vie-épargne bénéficie d’une augmentation des encours de 0.5%* par rapport à décembre 2019. Un redressement se confirme dans la collecte brute dans l’assurance vie ( 43% par rapport au T3-20), avec une bonne composition de collecte (46% de produits en unités de compte au T4-20). L’activité Protection affiche une hausse de 1,6%* par rapport à 2019 et de 5,5%* par rapport au T4-19. Cette croissance est portée en partie par une hausse des primes dommages de 11.0%* par rapport au T4-19 ( 9.9%* par rappor
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