Sous la canopée de la forêt tropicale, ils se faufilent un à un dans les galeries puis en ressortent, essoufflés, les bras chargés de sacs d'une terre sablonneuse dont ils espèrent extraire les quelques éclats de pierres précieuses qui leur permettront de survivre.
Dans le nord du Mozambique, qui fournit 80% de la production mondiale de RUBIS, des centaines de mineurs informels défient jour et nuit la faim, la police et une multinationale pour grappiller les miettes illégales du commerce de cette pierre.
Faque Almeida, 46 ans, est l'un de ces damnés de la terre.
Longtemps, Nthoro n'a été qu'un petit village pauvre et sans histoire du nord du Mozambique. Jusqu'à ce qu'il y a sept ans, on y découvre un gisement de rubis. Ses habitants...
Les semestriels confirment de grandes difficultés dans le secteur du stockage en Iran et en Turquie. Il s’agit d’investissements lourds qui risquent de peser quelque temps...
Deux études décrivent des exoplanètes géantes presque collées à leur étoile, dont la météo inédite pourrait compter de la neige de fer ou des grêlons de...