Communication Officielle
Vendredi 08 novembre 2019, 07h30 (il y a 53 mois) CREDIT AGRICOLE SA : Résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois 2019 : Résultats en forte hausse
Résultats du troisième trimestre et des neuf premiers mois 2019 T3-19 : Résultats en forte hausse
Ce communiqué de presse commente les résultats de Crédit Agricole S.A. ainsi que ceux du Groupe Crédit Agricole, qui regroupe les entités de Crédit Agricole S.A. et les Caisses Régionales du Crédit Agricole, lesquelles détiennent 56,6% de Crédit Agricole S.A. Les éléments spécifiques qui, retraités des différents soldes intermédiaires auxquels ils se rapportent, permettent de calculer les résultats sous-jacents, sont détaillés en p. 17 et suivantes de ce communiqué. Un rapprochement entre le compte de résultat publié et le compte de résultat sous-jacent se trouve en p. 23 et suivante pour le Groupe Crédit Agricole et en p. 19 et suivante pour Crédit Agricole SA. Crédit Agricole S.A. Résultat net sous-jacent trimestriel en forte hausse
Hausse des revenus sous-jacents T3/T3 ( 4,9%) et 9M/9M ( 1,8%), grâce à une activité commerciale dynamique
Effet ciseaux très positif ( 340 pb) et amélioration du coefficient d’exploitation
Solidité financière confirmée ce trimestre - Ratio CET1 à 11,7%, 0,1pp sept/juin, stabilité des emplois pondérés des métiers; Poursuite de la mise en œuvre du Plan à moyen terme 2022
Le Conseil d’administration de Crédit Agricole S.A., réuni sous la présidence de Dominique Lefebvre le 7 novembre 2019, a examiné les comptes du troisième trimestre et des neuf premiers mois 2019. Au troisième trimestre 2019, le résultat net part du Groupe publié atteint 1 199 millions d’euros, contre 1 101 millions d'euros au troisième trimestre 2018. Les éléments spécifiques de ce trimestre ont eu un effet net négatif limité de -28 millions d’euros sur le résultat net part du Groupe. Pour mémoire, ils avaient eu un impact négatif limité de -32 millions d’euros au troisième trimestre 2018. Hors ces éléments spécifiques, le résultat net part du Groupe sous-jacent du troisième trimestre 2019 atteint 1 226 millions d'euros, un niveau élevé, en hausse de 8,2% par rapport au troisième trimestre 2018. Le bénéfice par action sous-jacent atteint 0,34 euro par action sur le troisième trimestre 2019, en baisse de -6,3% par rapport au troisième trimestre 2018. Résultats consolidés de Crédit Agricole S.A. au T3-2019 et au T3-2018
L’activité a crû dans les pôles métiers de Crédit Agricole SA, malgré un contexte de taux toujours difficile. Les métiers de Crédit Agricole S.A., ainsi que les réseaux de distribution du Groupe Crédit Agricole, notamment les Caisses régionales qui distribuent les produits et services des métiers de Crédit Agricole S.A., ont, encore ce trimestre, connu un excellent niveau d’activité, que ce soit en crédit, en collecte d’épargne, ou en protection des biens et personnes. L’équipement des clients a progressé, témoignant du potentiel de croissance organique, via les synergies de revenus, du modèle de Banque universelle de proximité du Groupe.
En cohérence avec la stratégie décrite lors de la présentation du Plan de moyen terme du Groupe le 6 juin 2019, ce trimestre, Amundi, CA Consumer Finance et CACEIS ont poursuivi leur politique de partenariat hors Groupe en Europe et en Asie.
Ces opérations s’ajoutent aux opérations suivantes, annoncées depuis le début de l’année 2019 :
Les éléments spécifiques de ce trimestre sont peu nombreux et affichent un effet net limité négatif de -28 millions d’euros sur le résultat net part du Groupe, ils comprennent uniquement les éléments de volatilité comptable récurrents, à savoir le DVA (Debt Valuation Adjustment, soit les gains et pertes sur instruments financiers liés aux variations du spread émetteur du Groupe) pour -2 millions d’euros en résultat net part du Groupe et la couverture de portefeuille de prêts pour ‑1 million d’euros dans le pôle Grandes clientèles, ainsi que les dotations à la provision Epargne Logement respectivement pour -5 millions d’euros et -20 millions en résultat net part du Groupe dans les pôles Banque de proximité en France et Activités hors métiers. Au troisième trimestre 2018, les éléments spécifiques avaient eu un effet net limité, négatif de -32 millions d’euros sur le résultat net part du Groupe, notamment les coûts d’intégration de Pioneer Investments chez Amundi pour ‑6 millions d’euros (-12 avant impôts et intérêts minoritaires), et ceux des trois banques italiennes pour -4 millions d’euros (-7 avant impôts et minoritaires), ainsi que le solde net de -23 millions d'euros en résultat net part du Groupe des éléments de volatilité comptable récurrents, à savoir le DVA pour -6 millions d’euros, la couverture de portefeuille de prêts en Grandes clientèles pour - 10 millions d’euros et les variations de provisions épargne-logement pour -7 millions d’euros. Les performances des métiers ont été solides au troisième trimestre 2019. Le résultat net part du Groupe sous-jacent des pôles métiers12 a progressé de 6,8%, tous les métiers contribuant à cette hausse. La contribution du pôle Gestion de l’épargne et Assurances est en hausse de 2,5%, à 502 millions d’euros avec un résultat net part du groupe toujours solide pour l’assurances et Amundi. Le pôle Grandes clientèles enregistre une bonne performance, notamment en banque de marché, avec une hausse du résultat net de 12,8% à 478 millions d’euros malgré l’inversion du coût du risque de la BFI. La Banque de proximité voit sa contribution progresser de 6,0% à 251 millions d’euros. Le résultat brut d’exploitation est toujours bien orienté en Banque de proximité en France, et CA Italia affiche une forte hausse de sa contribution de 24,0%. Les très bonnes performances des partenariats automobiles dans les Services financiers spécialisés génèrent du résultat mis en équivalence (contribution en hausse de 17,8% entre le troisième trimestre 2018 et le troisième trimestre 2019). Au troisième trimestre 2019, les revenus sous-jacents ont atteint 5 073 millions d’euros, en hausse de 4,9% grâce à une activité commerciale dynamique et en dépit d’un contexte de taux toujours difficile. et ce notamment grâce à la forte hausse des revenus dans le pôle Gestion de l’épargne et Assurances ( 3,8%, bénéficiant d’une collecte record pour Amundi et de performance supérieure au marché français en assurances dommages), mais aussi grâce à la performance du pôle Grandes clientèles ( 6,3% liée au dynamisme de la banque de marché et au maintien des positions en banque commerciale dans un marché des prêts syndiqués en ralentissement sur la zone euro). Pour l’ensemble des pôles métiers, les revenus sous-jacents des pôles métiers (hors AHM) progressent de 3,1% ce trimestre. Ces bonnes tendances sur les revenus ont été accompagnées par une bonne maîtrise des charges. Les charges d’exploitation sous-jacentes hors FRU affichent une progression maîtrisée de 1,5% par rapport au troisième trimestre 2018. Ceci permet de dégager un effet de ciseaux très significativement positif, de 340 points de base. Le développement de l’activité s’est néanmoins poursuivi dans tous les métiers, ces deniers affichant une hausse de 2,9% de leurs charges entre le troisième trimestre 2018 et le troisième trimestre 2019. En particulier, le pôle Gestion de l’épargne et Assurances connait une hausse des charges reflétant le développement de l’assurance à l’international et sur les entreprises. Les Banques de proximité affichent des effets ciseaux positifs avec 90 points de base pour LCL et 140 points de base pour la Banque de proximité à l’international, de même que le pôle Grandes clientèles avec 240 points de base. Le pôle des Services financiers spécialisés enregistre des charges stables sur la période. Le coefficient d’exploitation sous–jacent s’élève à 59,6% sur le troisième trimestre 2019, en amélioration de 2 points de pourcentage sur la période. Le résultat brut d’exploitation sous-jacent est donc en hausse de 10,3% par rapport au troisième trimestre 2018. Le coût du risque affiche une hausse de 53,2% /-117 millions d’euros, à -335 millions d'euros contre ‑218 millions d'euros au troisième trimestre 2018, notamment du fait d’une inversion du coût du risque de crédit dans la Banque de financement et d’investissement qui avait enregistré des reprises nettes de provisions à hauteur de 52 millions d’euros au troisième trimestre 2018 alors qu’elle enregistre ce trimestre des dotations nettes pour -48 millions d’euros (soit une variation de -100 millions d’euros). C’est pour cette même raison que nous constatons une normalisation du coût du risque sur encours13 consolidé sur le troisième trimestre 2019. Il atteint 29 points de base, en hausse de 4 points de base par rapport au troisième trimestre 2018, en hausse de 4 points de base par rapport au trimestre précédent, mais reste à un niveau bas. Dans les trois autres métiers principalement contributeurs au coût du risque, celui-ci enregistre des variations contrastées mais d’ampleur très limitée. Ainsi, LCL affiche une augmentation de 15,5% du coût du risque, à -58 millions d’euros mais son coût du risque sur encours reste à un niveau bas à 17 points de base ( 1 point par rapport au trimestre précédent). CA Italia ressort en forte diminution de -12,0% avec un coût du risque sur encours qui poursuit son amélioration, passant à 59 points de base (contre 73 points au troisième trimestre 2018 et 62 points au deuxième trimestre 2019) ; enfin CA CF enregistre une baisse de -3,8% à 121 millions d’euros par rapport au troisième trimestre 2018, avec un coût du risque sur encours qui ressort également en baisse à 120 points de base. La contribution des sociétés mises en équivalence ressort en hausse de 5,1%, à 82 millions d’euros, traduisant notamment la bonne performance des partenariats de CA Consumer Finance ( 17,8% par rapport au troisième trimestre 2018). Le résultat net sur autres actifs s’élève à 17 millions d’euros, sous l’effet d’une opération ponctuelle d’immobilier en Gestion de fortune. Le résultat sous-jacent14 avant impôt, activités cédées et minoritaires ressort ainsi en progression de 5,6%, à 1 811 millions d'euros. Le taux d’impôt effectif sous-jacent s’établit à 25,3%, en baisse de -2,2 points de pourcentage par rapport au troisième trimestre 2018, conséquence notamment d’une décision favorable sur un litige fiscal chez CACIB au troisième trimestre 2019. La charge d’impôt sous-jacente est donc en baisse de -2,7% à 437 millions d’euros et le résultat net avant minoritaires affiche donc une hausse de 8,7%. La part de résultat net attribuée aux intérêts minoritaires est en hausse de 12,1% à 148 millions d'euros, principalement en lien avec l’évolution du résultat sous-jacent. Le résultat net part du Groupe sous-jacent progresse de 8,2% par rapport au troisième trimestre 2018 à 1 226 millions d'euros. Sur l’ensemble des neuf premiers mois 2019, le résultat net part du Groupe publié est de 3 183 millions d'euros, contre 3 393 millions d'euros sur les neuf premiers mois 2018, soit une baisse de -6,2%. Les éléments spécifiques pour les neuf premiers mois 2019 ont eu un effet négatif de -81 millions d’euros sur le résultat net part du Groupe publié. S’ajoutant aux éléments du troisième trimestre déjà mentionnés supra, les éléments du premier semestre 2019 avaient eu un impact négatif de -20 millions d'euros et correspondaient également aux éléments de volatilité comptable récurrents, à savoir le DVA pour -3 millions d'euros, les couvertures de portefeuilles de prêts en Grandes clientèles pour -6 millions d'euros et les variations de la provision Epargne Logement pour -12 millions d’euros. Les éléments spécifiques sur les neuf premiers mois 2018 avaient eu un impact positif de 54 millions d’euros sur le résultat net part du Groupe. Par rapport à ceux du troisième trimestre 2018 déjà mentionnés supra, ils ont eu un impact de 87 millions d'euros sur le résultat net part du Groupe au premier semestre 2018, soit l’ajustement du montant de badwill constaté lors de l’acquisition des trois banques italiennes à hauteur de 66 millions d’euros, les coûts d’intégration de Pioneer pour ‑8 millions d'euros (-18 millions avant impôts et intérêts minoritaires) ainsi que des éléments spécifiques récurrents, à savoir le DVA pour 11 millions d'euros ( 15 millions d’euros avant impôt), les couvertures de portefeuilles de prêts en Grandes clientèles pour 14 millions d'euros ( 20 millions d’euros avant impôt). Hors ces éléments spécifiques, le résultat net part du Groupe sous-jacent ressort à 3 264 millions d'euros, en baisse de -2,2% par rapport aux neuf premiers mois 2018. Le bénéfice par action sous-jacent atteint 0,97 euro par action, en baisse (-8,6%) par rapport aux neuf premiers mois 2018. Le ROTE15 annualisé net des coupons annualisés d’Additional Tier 1 (retour sur fonds propres part du Groupe hors incorporels) atteint 11,3% sur les neuf premiers mois 2019, en retrait par rapport à l’année 2018 (13,1%). Résultats consolidés de Crédit Agricole S.A. aux 9M 2019 et aux 9M 2018
Sur les neuf premiers mois 2019, les résultats des métiers sont en hausse de 2,5%, grâce à une bonne croissance de l’activité, à la maîtrise de l’évolution des charges (effet de ciseaux positif de 40 points de base), et au maintien du coût du risque à un niveau très bas. La contribution négative du pôle Activités hors métiers (‑683 millions d’euros, contre -515 millions d’euros sur les neuf premiers mois 2018) résulte d’une dégradation des éléments de ce pôle, autres que le résultat net « structurel », par rapport à une base 2018 élevée. Le produit net bancaire sous-jacent augmente de 1,8% par rapport aux neuf premiers mois 2018, avec une contribution positive à cette croissance dans tous les pôles métiers sauf les Services financiers spécialisés. Le crédit à la consommation évolue dans un contexte de forte pression concurrentielle en France et de démarrage de nouveaux partenariats (entraînant des coûts d’acquisition de clientèle) sur la période, et la très bonne performance des partenariats automobiles est comptabilisée en mise en équivalence. Le crédit-bail et l’affacturage voit leur activité se stabiliser, avec une activité dynamique en crédit-bail notamment. Les revenus du pôle Grandes clientèles sont en légère hausse ( 2,4%). Les charges d’exploitation sous-jacentes sont en légère hausse de 1,2%, hors contribution au FRU. Cette maîtrise des charges permet d’afficher un effet ciseaux positif de 60 points de base sur la période. Sur les seuls pôles métiers, la hausse des charges d’exploitation hors FRU s’élève à 1,6%. Elle est principalement concentrée sur les pôles Gestion de l’épargne et Assurances et Grandes Clientèles qui connaissent des hausses de charges en lien avec le développement de leurs activités. Le coefficient d’exploitation sous-jacent hors FRU s’élève à 60,5%, y compris les charges IFRIC21 du premier trimestre, en amélioration de 0,4 point de pourcentage par rapport au troisième trimestre 2018. Enfin, le coût du risque de crédit, enregistre une augmentation de 21,4%/-162 millions d’euros par rapport aux neuf premiers mois 2018 à -917 millions d’euros. Cette hausse s’explique essentiellement par le pôle Grandes clientèles (qui enregistre une charge du risque de -105 millions d'euros à fin septembre 2019, contre une reprise nette de 38 millions d’euros à fin septembre 2018) et en particulier la Banque de financement, à cause des dotations ponctuelles constatées sur la période. A fin septembre 2019, la solvabilité de Crédit Agricole S.A. demeure à un niveau élevé, avec un ratio Common Equity Tier 1 (CET1)16 de 11,7%, en hausse de 0,1pp par rapport à fin juin 2019. Les emplois organiques des métiers sont stables ( 0,8 milliard d’euros) au troisième trimestre 2019. Les emplois pondérés s’élèvent à 330 milliards d’euros à fin septembre 2019, contre 323 milliards d’euros à fin juin, soit une hausse de 2,1% sur un trimestre, qui s’explique, malgré la stabilité des emplois pondérés des métiers ( 0,8 milliard d’euros), principalement par la hausse des emplois pondérés liés aux réserves latentes et à la prise en compte des résultats des sociétés d’assurance de la période ( 3,4 milliards d’euro au total), par l’impact du change ( 1,8 milliard d’euros) et par l’acquisition de Kas Bank par CACEIS ( 0,8 milliard d’euros). Pour rappel, les participations dans les sociétés d’assurances bénéficient d’une pondération en emplois pondérés à hauteur de 370% de la valeur de mise en équivalence. Pour le ratio CET1, la génération de capital du trimestre ( 17 points de base, dont une provision de dividende à 0,17€ sur le troisième trimestre 2019 et à 0,47€ sur neuf mois) et la variation positive des réserves latentes ( 8 points de base) ont été notamment compensées par la quasi stabilité de la croissance des métiers (-3 points de base). Les autres impacts sont constitués notamment de la hausse des résultats de l’assurance au travers de la valeur de mise en équivalence (-5 points de base), de l’effet de l’acquisition de Kas Bank par CACEIS (-3 points de base), d’un effet change (-1 point de base) et de l’impact positif de l’augmentation de capital réservée aux salariés ( 5 points de base) sur le CET1 de Crédit Agricole S.A. ce trimestre. Le ratio de levier phasé s’établit à 4,3% à fin septembre 2019. Le ratio de levier intra-trimestriel moyen phasé17 atteint 4,0% au troisième trimestre 2019. Le ratio LCR (Liquidity Coverage Ratio) moyen sur douze mois de Crédit Agricole S.A. s’élève à 131,7%18 à fin septembre 2019 soit un niveau supérieur à l’objectif du Plan à moyen terme d’environ 110%. A fin octobre 2019, Crédit Agricole S.A. a réalisé à hauteur de 88% son programme de financement moyen long terme sur les marchés pour l’année. La banque a levé l’équivalent de 15 milliards d’euros dont 8,7 milliards d’euros équivalents de dette senior préférée et de dette senior collatéralisée, ainsi que 4,5 milliards d’euros équivalents en dette senior non préférée et 1,8 milliard d’euros équivalents en dettes Tier 2. Le programme 2019 s’élève à 17 milliards d’euros, dont environ 5 à 6 milliards d’euros de dette éligible TLAC (dette Tier 2 ou dette senior non préférée). A noter que Crédit Agricole S.A. a réalisé en octobre 2019 une émission de dette senior non préférée Green pour 1 milliard d’euros (inclus dans les montants ci-dessus). * * * Commentant ces résultats et l’activité de Crédit Agricole S.A. au troisième trimestre 2019 et sur les neuf premiers mois de l’année 2019, Philippe Brassac, Directeur Général, a déclaré : « Les résultats de Crédit Agricole S.A. sont en forte hausse ce trimestre, à 8,9%, grâce à une activité commerciale dynamique dans tous les métiers qui se traduit par 210 000 clients supplémentaires en France et Italie cette année ; les taux d’équipement de nos clients poursuivent leur hausse, témoignant du potentiel de croissance organique du Groupe, notamment par le biais des synergies entre entités. Tout en poursuivant notre investissement dans le développement de nos métiers, notamment l’assurance, sur les entreprises en France et à l’international, notre efficacité opérationnelle continue de s’améliorer, comme en témoigne l’effet ciseaux très significa
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