La sortie du dernier opus de sa licence phare devait permettre à l’éditeur français de jeux vidéo de redresser la tête. Si le jeu rencontre un succès indéniable, les résultats négatifs du groupe familial ont fait chuter une nouvelle fois son action
En difficultés depuis des mois, UBISOFT n’avait plus le droit à un nouvel échec. Pour l’éditeur français la sortie d’Assassin’s Creed Shadows, dernier épisode de sa licence phare, le 20 mars était présenté comme le jeu qui devait lui permettre de redresser la barre. Point positif pour le groupe créé par les frères GUILLEMOT, l’opus est un succès critique et se classe parmi les titres les plus vendus de l’année sur différentes plateformes. Selon UBISOFT, il a enregistré le deuxième meilleur démarrage de la série au premier jour de sa sortie, après Assassin’s Creed Valhalla, qui reste l’épisode le plus vendu à ce jour.
Mais ce succès n’aura pas évité à l’action d’Ubisoft de s’effondrer de 20% à l’ouverture de la bourse de Paris jeudi, suite à la publication des résultats de l’exercice décalé 2024-2025. A la clôture, le cours remontait légèrement, affichant un recul d’environ 18% à 9,55 euros. Vendredi à la mi-journée, il était en progression de 3,9% à 9,93 euros.
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