Siemens/Alstom : l’État français obtiendra-t-il de vraies garanties ?
Le rapprochement franco-allemand devrait être annoncé sous peu. L’État français encore à la tête de 20% des droits de vote d’Alstom va devoir décider d’ici au 17 octobre s’il lève ou non les titres. S’il ne le fait pas, il devra rendre ses droits à Bouygues. Le gouvernement aujourd’hui prompt à vouloir créer des champions européens va devoir mettre en oeuvre un important dispositif d’assurances.