"Nobody has to provoke nobody", dit Macron à JérusalemJERUSALEM (Reuters) - "Nobody has to provoke nobody" : vingt-quatre ans après le vif échange désormais célèbre entre Jacques Chirac et les services de sécurité israéliens, Emmanuel Macron s'est emporté mercredi contre les forces de l'ordre de l'Etat hébreu dans la vieille ville de Jérusalem, les appelant au calme et au respect des règles.
Au premier jour de sa visite en Israël, le chef de l'Etat français s'est rendu, après des entretiens avec le président et le chef du gouvernement israéliens, à la basilique Sainte-Anne, propriété de la France, et devenu passage obligé pour tous les présidents français en déplacement dans la région.
Au moment d'y pénétrer, Emmanuel Macron a été poussé par les forces de sécurité israéliennes qui tentaient d'y entrer à sa suite et s'est brièvement emporté devant les objectifs des caméras et des photographes.
Mercredi 22 janvier 2020, 18h02 - LIRE LA SUITE
|
Palmarès sur une semaine
|