Trump a condamné l'assaut du Capitole sous la pression de ses conseillers
par Steve Holland et Matt Spetalnick
WASHINGTON (Reuters) - Donald Trump s'est résolu à condamner les violences survenues au Capitole et à lancer un appel au calme aux Etats-Unis sous la pression de ses plus proches conseillers, dont certains ont avancé le risque d'une destitution ou d'une responsabilité juridique pour l'envahissement du siège du Congrès par ses partisans, a-t-on appris vendredi de deux sources proches du dossier.
Dans un message vidéo diffusé jeudi soir, le président sortant des Etats-Unis a admis que son adversaire démocrate Joe Biden allait lui succéder à la Maison blanche le 20 janvier.
Il a aussi condamné l'envahissement du Capitole mercredi par ses partisans, devant lesquels il venait une nouvelle fois de contester le résultat de l'élection du 3 novembre en dénonçant des fraudes sans apporter de preuves.