Tiffany et LVMH, à peine fiancés, déjà divorcés: le groupe de Bernard Arnault ne s'estime plus "en mesure" de racheter "en l'état" le joaillier américain, qui a lui attaqué le groupe français devant la justice aux Etats-Unis.
Leurs fiançailles avaient fait les gros titres en novembre dernier, lorsque le numéro un mondial du luxe avait annoncé vouloir croquer la prestigieuse marque new-yorkaise pour le montant record de 16,2 milliards de dollars.
Mais la crise sanitaire est notamment passée par là.