Sous le feu des critiques, Interpol doit se réformer d'urgence
La nomination du très sulfureux Ahmed Naser al-Raisi à la tête de l'agence de police internationale suscite de très vives critiques. Afin de ne pas devenir l'instrument des dictateurs et autocrates, qui rêvent d'en faire une branche de leur propre service secret, le président de cette organisation devrait être désigné par un vote transparent des 195 Etats membres. Pour commencer...