par Melissa Fares, Silvia Aloisi et Sarah White
NEW YORK/MILAN/PARIS (Reuters) - Après l'abandon par
LVMH de ses fiançailles à 16 milliards de dollars (13,5 milliards d'euros) avec Tiffany, Wall Street semble croire ce dernier capable de poursuivre son chemin en solo. Et le joaillier américain est du même avis.
Mercredi, après l'annonce choc du numéro un mondial du luxe, le directeur général de Tiffany, Alessandro Bogliolo, a organisé une téléconférence avec les salariés pour leur rappeler que le groupe n'avait pas sollicité l'offre de
LVMH et que si celle-ci échouait, Tiffany s'en accommoderait.