Résultats du premier semestre 2020 : Rentabilité de la marge préservée malgré la baisse d’activité du T2 - Levier financier bien maîtrisé à 2,8xRésultats du second trimestre et du premier semestre 2020
Paris le 29 juillet 2020 : le Conseil de Surveillance de Tarkett (Euronext Paris : FR0004188670 TKTT), qui s’est réuni ce jour, a examiné les résultats consolidés du premier semestre de l’exercice 2020 du Groupe. Le Groupe utilise des indicateurs alternatifs de performance (non définis par les normes IFRS) décrits en détail dans l’annexe 1 en page 9 de ce document :
Commentant ces résultats, Fabrice Barthélemy, Président du Directoire a déclaré : « Comme prévu, le second trimestre a été significativement affecté par la pandémie de Covid-19 et par les mesures de confinement dans toutes nos régions. Tout en faisant de la sécurité notre priorité numéro un et en restant pleinement engagés aux côtés de nos clients, nous avons réussi à assurer la continuité des opérations et nous avons rapidement mis en place de nombreuses mesures pour variabiliser les coûts et réduire les investissements. Grâce à ces actions et au dévouement exceptionnel de nos équipes, nous avons pu maintenir la rentabilité du Groupe, limiter la consommation de trésorerie et protéger la structure financière. Bien qu’ayant constaté une amélioration progressive de l’activité au cours du second trimestre, nous restons très prudents sur la deuxième partie de l’année car certaines de nos régions clés, telles que l’Amérique du Nord, luttent toujours contre la pandémie. »
La répartition du chiffre d’affaires et l’EBITDA ajusté du T2 2020 sont présentés dans les annexes 3 et 4 (page 11 de ce document). Face à cette crise sanitaire sans précédent, notre priorité a été de protéger la santé et la sécurité de nos collaborateurs. Tarkett a immédiatement mis en place les mesures de distanciation sociale dans les sites de production et adopté le télétravail permettant ainsi la continuité des opérations. Le Groupe a dû fermer temporairement certains de ses sites de production en avril, mais seulement sur des courtes périodes. En outre, nous avons rapidement déployé un ensemble de mesures fortes pour réduire les coûts et protéger les flux de trésorerie. A la fin du second trimestre, la levée progressive des mesures de confinement a permis la réouverture de nos bureaux dans de nombreux pays et la plupart de nos sites de production fonctionnent à nouveau à normale capacité. Chiffre d’affaires de 626,3 millions d’euros, en baisse de 20,5% au T2 2020 pénalisé par l’intensification des mesures de confinement et leur déploiement dans la plupart des pays début avril :
EBITDA ajusté de 64 millions d’euros au T2 2020 comparé à 84 millions d’euros sur T2 2019. Marge préservée à 10,2% (en baisse de seulement 40 points de base par rapport à l’année dernière) grâce aux mesures pour atténuer l’impact négatif de la crise :
Dépréciations d’actifs
Free cash-flow en ligne avec la saisonnalité habituelle :
Structure financière solide et liquidité renforcée :
Le chiffre d’affaires net du Groupe s’est élevé à 1 237 millions d’euros au premier semestre 2020, soit une baisse de -12,4% par rapport au premier semestre 2019. Le déploiement des mesures de confinement à partir de fin mars et au cours du second trimestre a conduit à une baisse importante de l’activité dans toutes les régions du Groupe. Les ventes ont également été perturbées durant la première moitié de mai par la cyberattaque mentionnée ci-dessus. Le chiffre d’affaires net a baissé de -13,8% en EMEA et de -16,7% en Amérique du Nord, tandis que les ventes du segment CEI, APAC & Amérique Latine ont baissé de -12,8%. Le chiffre d’affaires net du Sport est resté à un niveau solide, avec une baisse de seulement -2,4% sur le semestre en dépit d’une base de comparaison défavorable (croissance organique de 13,1% au S1 2019). L’EBITDA ajusté s’est élevé à 106,3 millions d’euros au premier semestre 2020 contre 126,7 millions d’euros au premier semestre 2019. La marge d’EBITDA ajusté a été préservée à 8,6% au premier semestre 2020, en baisse de seulement 40 points de base par rapport au premier semestre 2019, grâce à une réduction significative des coûts. Tarkett a été pénalisé par la forte baisse des ventes, qui a entraîné un effet volume et mix négatif de -77,8 millions d’euros, dont l’essentiel provient du second trimestre. Les prix de ventes ont légèrement progressé par rapport au premier semestre 2019. Les coûts d’achat se sont améliorés à hauteur de 7,9 millions d’euros sur le premier semestre 2020 compte tenu de l’accélération de l’effet des baisses de prix des matières premières au cours du second trimestre. L’inflation salariale s’est élevée à 7,9 millions d’euros, reflétant les hausses de salaires attribuées en 2019 et début 2020. L’inflation salariale était moins élevée au second trimestre 2020 qu’au premier trimestre 2020 en raison du décalage de certaines hausses de salaires initialement planifiées. Les réductions de coûts se sont élevées à 50,7 millions d’euros au premier semestre 2020 par rapport au premier semestre 2019, dont 28,8 millions d’euros sont liées à des mesures spécifiques déployées pour faire face à la crise Covid-19 ou rendues possible par les mesures de confinement et de restriction de voyage. Environ 11 millions d’euros de ces économies ont été permises grâce à l’activation des aides publiques. Les gains de productivité et la baisse des frais commerciaux, généraux et administratifs se sont élevés à 21,9 millions d’euros. Environ 19 millions d’euros proviennent d’actions structurelles mises en œuvre dans le cadre du plan stratégique Change to Win, notamment par l’optimisation du dispositif industriel et la réduction des frais commerciaux, généraux et administratifs. Le solde des économies (2,9 millions d’euros) provient principalement de phasage et report de dépenses. Les variations de change (en excluant les pays de la CEI) ont engendré un impact négatif de -2,1 millions d’euros. Les variations de change défavorables de la couronne norvégienne et du real brésilien ont plus que compensé l’effet positif de l’appréciation du dollar par rapport à l’euro. Les ajustements à l’EBIT ont représenté -68,7 millions d’euros au premier semestre 2020, comparé à -17 millions d’euros au premier semestre 2019. Ils comprennent des coûts de restructuration d’un montant de -10,9 millions d’euros, principalement liés au plan de réduction des coûts de structure et à la rationalisation du dispositif industriel en Europe. Par ailleurs, Tarkett a enregistré une dépréciation d’actifs de -54 millions d’euros, reflétant principalement l’impact de la pandémie Covid-19 sur le segment de l’hôtellerie en Amérique du Nord. Les charges financières ont baissé de 2,9 millions d’euros pour atteindre 16,7 millions d’euros au premier semestre 2020, compte tenu d’une baisse de l’endettement financier de -85 millions d’euros et d’un taux de LIBOR plus bas qu’au premier semestre 2019. La charge d’impôt est restée stable à -3,9 millions d’euro. La baisse du résultat imposable a été neutralisée par une dépréciation d’actifs d’impôts différés (-4 millions d’euros). Le résultat net était de -65 millions d’euros, représentant un bénéfice net par action dilué de -1,0 euro.
Le segment EMEA a réalisé un chiffre d’affaires net de 405,6 millions d’euros, en baisse de -13,8% par rapport au deuxième semestre 2019. La baisse à taux de change et périmètre constant s’expliquer par la progression de la pandémie et du déploiement des mesures de confinement, qui ont fortement réduit la demande notamment en avril. La chute a été particulièrement marquée en Europe du Sud et au Royaume-Uni, mais la plupart des pays ont enregistré des améliorations dès le mois de mai. La région Nordique a démontré une bonne résistance au cours du semestre et a été particulièrement dynamique en juin. Les ventes se sont nettement améliorées au mois de juin notamment grâce à la finalisation de projets engagés avant le début de la crise Covid-19 et tous les pays commencent à se redresser hormis le Royaume-Uni. Plusieurs sites de production ont dû être fermés temporairement entre mars et mai et ont fonctionné à capacité réduite une grande partie du trimestre. Le segment EMEA a atteint une marge d’EBITDA ajusté de 11,5%, en baisse de 40 points de base par rapport au premier semestre 2019. En plus des actions stratégiques de réduction de coûts lancées fin 2019, un ensemble de mesures fortes ont été déployées à la fin du mois de mars dès le début de la crise sanitaire en Europe. Les coûts d’achat étaient par ailleurs en baisse par rapport à l’année dernière. Le segment Amérique du Nord a réalisé un chiffre d’affaires net de 357,7 millions d’euros, en baisse de -16,7% par rapport au premier semestre 2019, reflétant une baisse à taux de change et périmètre constants de -18,6% et un effet de change positif lié à l’appréciation du dollar par rapport à l’euro sur la période. Après un bon début d’année, le niveau d’activité était en baisse significative au second trimestre 2020 en raison du déploiement des mesures de confinement. Les tendances d’activité se sont améliorées au fur et à mesure de l’assouplissement de ces mesures. Cette amélioration est en partie liée à la finalisation de projets commerciaux commencés avant le début de la crise sanitaire. Le segment de l’hôtellerie a été particulièrement pénalisé au cours du premier semestre 2020 en raison de l’annulation et du report de projets compte tenu de l’impact des restrictions de voyage sur ce marché. Le segment de marché des bureaux a également été impacté au cours du semestre. Les activités résidentielles se sont quant à elles améliorées et ont même cru à la fin du second trimestre en ligne avec les tendances observées sur ce marché (augmentation de la rénovation et de la construction résidentielles). Plusieurs sites de production ont été fermés temporairement au cours du second trimestre et le télétravail est toujours en vigueur sur la plupart du territoire. La marge d’EBITDA ajusté s’est élevée à 9,1% au premier semestre 2020 par rapport à 9,6% au premier semestre 2019. Les actions de réduction de coûts lancées au cours du deuxième semestre 2019 ont commencé à porter leur fruit au premier trimestre. Par ailleurs, des mesures pour amoindrir l’impact de la crise sur la rentabilité ont rapidement été mises en place et ont démontré leur efficacité. Ce plan comprenait des mesures drastiques de réduction des coûts discrétionnaires et la mise en place du chômage partiel. La rentabilité a également été soutenue par la baisse des coûts d’achat. Le chiffre d’affaires du segment CEI, Asie-Pacifique et Amérique Latine s’est élevé à 222,9 millions d’euros, soit une baisse de -12,8% au premier semestre 2020, reflétant une baisse à taux de change et périmètre constants de -9,7% et des effets de change défavorables principalement liés à la baisse du real brésilien. Dans les pays de la CEI, les volumes ont commencé à progresser légèrement en juin par rapport à l’année dernière en dépit d’un environnement macro-économique difficile. Le « lag effect » (l’effet net des variations des devises et des prix de vente dans les pays de la CEI) était légèrement négatif au cours du semestre en raison de sa détérioration au cours du second trimestre due à la dépréciation du rouble. Le chiffre d’affaires a été pénalisé en Amérique Latine depuis la fin du mois de mars, lorsque les mesures de confinement y ont été déployées. En Asie-Pacifique, le chiffre d’affaires avait été pénalisé au premier trimestre avec le développement de la pandémie Covid-19. L’activité est revenue à un niveau normal au second trimestre, mais de nouvelles mesures de confinement partiel en Chine, en Australie et en Inde ont pesé sur la demande à la fin du second trimestre 2020. Le segment CEI, Asie-Pacifique et Amérique Latine a enregistré une marge d’EBITDA ajusté de 14,5%, en hausse de 180 points de base par rapport à l’année dernière. La rentabilité s’est améliorée sous l’effet de gains de productivité significatifs et d’une forte réduction des coûts de structure. Ces économies ont été générées par des actions structurelles et des mesures spécifiques Covid-19, y compris des baisses de salaire mises en place en avril et en mai. Les coûts des matières premières ont également baissé au cours du semestre, soutenant la rentabilité sur la période. Le chiffre d’affaires du Sport s’est élevé à 250,7 millions d’euros au premier semestre 2020, soit une baisse de seulement -2,4% par rapport à l’année dernière reflétant une baisse organique de -5,0% et un effet de change positif lié à l’appréciation du dollar par rapport à l’euro. Le niveau d’activité est resté soutenu en avril et en mai compte tenu de la possibilité d’installer les terrains de sport tout au long du second trimestre dans la plupart des Etats américains. Une baisse de l’activité de gazon artificiel a été enregistrée à la fin du second trimestre suite au report de plusieurs projets, tandis que les activités de pistes d’athlétisme et de sports intérieurs ont continué à progresser par rapport à l’année dernière. En Europe, plusieurs projets d’installation ont été arrêtés pendant la durée du confinement jusqu’à mi-mai. L’Europe et l’Australie ont enregistré une amélioration sensible en juin, provenant en partie de la finalisation de projets existants. L’annulation de la plupart des évènements sportifs et son impact sur les revenus issus de la billetterie et de la publicité devraient se traduire par des reports et des annulations de projets au deuxième semestre 2020. Le Sport a enregistré un EBITDA ajusté stable sur le premier semestre 2020 et a amélioré sa rentabilité avec une marge de 7,6%, en hausse de 60 points de base par rapport à l’année dernière. Cette progression reflète de solides résultats en matière de réduction des coûts de structure et une baisse des coûts d’achat. La rentabilité a également été soutenue par un effet mix positif lié à une contribution plus élevée des activités de pistes d’athlétisme par rapport à l’année dernière.
Au premier semestre 2020, Tarkett a poursuivi sa gestion stricte du besoin en fonds de roulement avec un suivi approfondi des créances clients et des stocks. Environ 110 millions d’euros de créances ont été cédées au cours du premier semestre 2020 au travers des programmes d’affacturage. Ce montant était en baisse de -17 millions par rapport à décembre 2019, soit un impact négatif équivalent sur la trésorerie du Groupe. Tarkett a généré un free cash-flow négatif de -76 millions d’euros au premier semestre 2020, en ligne avec la saisonnalité habituelle. Cela se compare à un free cash-flow positif de 42 millions d’euros en 2019, qui avait bénéficié de la mise en œuvre de programmes d’affacturage (contribution positive de 105 millions d’euros à fin juin 2019). L’endettement net publié s’est élevé à 728 millions d’euros à fin juin 2020, incluant 97 millions d’euros d’engagements de loyers compte tenu de l’application de la norme IFRS16. La documentation des accords de financement de Tarkett prévoit que les effets du changement de normes comptables soient neutralisés. Par conséquent, l’endettement net et l’EBITDA ajusté retenus pour le calcul du levier sont avant application de la norme IFRS 16, ce qui représentait un ratio de levier de 2,8x à fin juin 2020, nettement inférieur au covenant de juin de 3,5x.
L’incertitude demeure tant que la pandémie reste active et que de nouvelles mesures de confinement sont mises en place dans certaines régions. Le Groupe est particulièrement prudent quant à la reprise économique dans les régions luttant encore contre la pandémie, tels que l’Amérique du Nord. La croissance du PIB attendue sur 2020 a été fortement révisée à la baisse par le FMI, et cela pour toutes les régions clés (-8% pour les Etats-Unis, -10% pour la zone Euro, -6,6% pour la Russie). Au global, la situation économique reste fragile et le Groupe s’attend à une reprise très graduelle de l’activité de certains segments de marché, aussi bien dans les revêtements de sol que dans les surfaces sportives. De surcroît, certains clients du Groupe pourraient faire face à des difficultés financières lorsque les aides publiques ne seront plus disponibles. La nette amélioration enregistrée en juin repose en partie sur la finalisation de projets existants. Tarkett s’attend à des ventes toujours en baisse par rapport à l’année dernière sur le troisième trimestre 2020. Le segment Sport devrait voir la demande ralentir dans la mesure où le financement de l’industrie du sport sera probablement sous contrainte. Bien qu’il soit difficile d’évaluer à ce stade les niveaux d’activité du quatrième trimestre, le Groupe bénéficiera d’une base de comparaison favorable compte tenu de la faible performance de l’Amérique du Nord au quatrième trimestre 2019 (repli des ventes d’environ 20%). Dans cet environnement, Tarkett accélère le déploiement de ses initiatives stratégiques, notamment des actions pour optimiser le dispositif industriel et réduire les frais de structure. Tarkett s’attend à ce que les actions structurelles dépassent l’objectif de 30 millions d’euros d’économies en année pleine sur 2020. Les prix d’achat ont baissé sur le premier semestre 2020 et devraient contribuer positivement à hauteur de 15 millions d’euros au deuxième semestre 2020. Les réductions de coûts et les baisses des prix d’achat devraient permettre d’atténuer l’impact négatif de la baisse de l‘activité sur la rentabilité de Tarkett en année pleine. Compte tenu du niveau actuel d’incertitude quant à l’activité, le Groupe a suspendu son objectif de ratio de levier pour la fin de l’année 2020 (soit un ratio endettement net sur EBITDA ajusté compris entre 1,6x et 2,6x à la fin de l’année), tel qu’annoncé dans le communiqué du 8 avril 2020.
Tarkett a poursuivi ses initiatives stratégiques au premier semestre afin d’atteindre ses objectifs financiers à moyen terme :
Ces objectifs restent valables en dépit d’un environnement économique dégradé. Le Groupe va accélérer le déploiement de son plan Change to Win et renforcer ses principales initiatives stratégiques :
Ce communiqué de presse peut contenir des informations de nature prévisionnelle. Ces informations constituent soit des tendances, soit des objectifs, et ne sauraient être regardées comme des prévisions de résultat ou de tout autre indicateur de performance. Ces informations sont soumises par nature à des risques et incertitudes, tels que décrits dans le Document de Référence de la Société disponible sur son site Internet (www.tarkett.com). Elles ne reflètent donc pas les performances futures de la Société, qui peuvent en différer sensiblement. La Société ne prend aucun engagement quant à la mise à jour de ces informations. Les comptes consolidés audités pour le premier semestre de l’exercice 2020 sont accessibles sur le site Web de Tarkett https://www.tarkett.com/fr/content/résultats-financiers-0. La conférence analystes aura lieu le 30 juillet 2020 à 11 heures par un service de webcast audio (en direct puis en différé) et la présentation des résultats sera disponible sur https://www.tarkett.com/fr/content/résultats-financiers-0 Calendrier financier
Contact Relations Investisseurs Contacts Media A propos de Tarkett Riche de 140 années d’histoire, Tarkett est un leader mondial des solutions innovantes de revêtements de sol et de surfaces sportives, et a réalisé un chiffre d’affaires de 3 milliards d’euros en 2019. Offrant une large gamme de solutions intégrant des sols vinyles, linoléum, caoutchouc, moquettes, parquets et stratifiés, gazons synthétiques et pistes d’athlétisme, le Groupe sert ses clients dans plus de 100 pays dans le monde. Avec 12 500 collaborateurs et 33 sites industriels, Tarkett vend 1,3 million de mètres carrés de revêtement de sol chaque jour, à destination des hôpitaux, des écoles, de l’habitat, des hôtels, des bureaux ou commerces et des terrains de sport. Engagé dans une démarche d’économie circulaire, le Groupe met en place une stratégie d'éco-innovation inspirée des principes Cradle to Cradle® , tout en contribuant au bien-être des personnes et en préservant le capital naturel. Tarkett est coté sur le marché réglementé d’Euronext (compartiment B, code ISIN FR0004188670, code mnémonique : TKTT) et figure dans les indices suivants : SBF 120 et CAC Mid 60. www.tarkett.com.
Annexes 1/ Définition des indicateurs alternatifs de performance (non définis par les normes IFRS)
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