Présidentielle: Roussel déplore une campagne "sous morphine"
La campagne présidentielle se termine "sous morphine", déplore jeudi dans un entretien le candidat communiste Fabien Roussel qui juge "grave" le refus du président candidat Emmanuel Macron de débattre alors que le risque d'une forte abstention est élevé.
"On a vécu une campagne sous PFIZER, on la finit sous morphine", estime le député du Nord, qui regrette dans cet entretien à L'Humanité Magazine de ne pas avoir pu "débattre avec le candidat Macron de la fraude fiscale, de la vie des salariés, des retraités".
"C'est grave qu'il ait refusé.