NANTES (Reuters) - Le secrétaire d’État à la Transition écologique a écarté mardi toute gestion collective des terres de l'ex-ZAD de Notre-Dame-des-Landes, à l'instar de ce qui avait été fait en 1984 après l'abandon de l'extension du camp militaire du Larzac et comme le réclament les opposants à l'ex-projet d'aéroport.