BRUXELLES (Reuters) - Le refus de
FORD d'accepter une proposition de reprise de l'usine de Blanquefort est "hostile et inacceptable", a dit vendredi Emmanuel Macron, sans écarter la possibilité qu'il soit demandé au constructeur de rembourser des aides publiques.
Une discussion va s'engager entre le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, et le groupe "qui j'espère permettront d'aboutir à des résultats", a ajouté le président français à l'issue du Conseil européen, à Bruxelles.
"Le geste fait hier par l'entreprise
FORD est un geste hostile et inacceptable", a-t-il dit.