Les réseaux sociaux sur la sellette après l'assassinat de Samuel Paty
Les réseaux sociaux, souvent utilisés pour diffuser des messages de haine, se retrouvent une nouvelle fois sur la sellette après l'assassinat du professeur d'histoire-géo Samuel Paty, mais la peur de toucher à la liberté d'expression rend les initiatives difficiles.
Le Premier ministre Jean Castex a dit mardi vouloir créer un nouveau délit de "mise en danger par la publication de données personnelles" sur internet.
"Nous ne pouvons plus nous résoudre à assister passivement au déchaînement de la haine sur les réseaux sociaux", a-t-il affirmé lors de la séance de questions au gouvernement.