L'ancien trader de la Société générale Jérôme Kerviel repart en 2016 à l'assaut des tribunaux: condamné au pénal à 5 ans de prison (dont 3 ferme) pour dissimulation de ses gigantesques prises de risque sur les marchés en 2008, il tente de faire réviser ce procès. Au civil, la cour d'appel doit fixer les dommages et intérêts réclamés, initialement de 4,9 milliards d'euros. Il saisit par ailleurs le conseil de prud'hommes pour licenciement "sans cause réelle et sérieuse". Sur ces trois fronts, l'affaire qui soulève le problème de l'opacité des pratiques des banques est très médiatisée.