Ni les pressions politiques, ni la pandémie, ni les atermoiements des annonceurs n'ont eu de prise sur les résultats d'été d'Alphabet (Google),
AMAZON et Facebook, dont les revenus et bénéfices ont largement dépassé les attentes, même si Wall Street semblait espérer encore plus des géants des technologies.
Amazon, par exemple, grand gagnant des mesures de confinement, a vu son chiffre d'affaires s'envoler de 37% à plus de 96 milliards de dollars au troisième trimestre, mais son action reculait de 1% dans les échanges électroniques suivant la clôture de la Bourse de New York jeudi, car ses prévisions ont été jugées trop timides pour la saison des fêtes.
Google et Facebook, les deux leaders mondiaux de la publicité numérique, ont aussi explosé les compteurs.