Au Conseil européen des 13 et 14 décembre, le plan de relance français a suscité beaucoup d'interrogations même si la question n'a pas été officiellement évoquée. Seul le Premier ministre Luxembourgeois a mis les pieds dans le plat: « il ne faut pas hypothéquer l'avenir des futures générations en distribuant aujourd'hui, et,… après moi le déluge. »