par Gianluca Lo Nostro, Leo Marchandon et Florence Loeve
(Reuters) - La semaine prochaine, le conglomérat français
VIVENDI cherchera à convaincre ses actionnaires avec son projet de démantèlement, très critiqué par un investisseur activiste selon lequel ce plan ne profiterait qu'à son principal actionnaire, le groupe Bolloré.
Les actionnaires voteront lundi la scission de
VIVENDI en quatre sociétés valorisées à plusieurs milliards d'euros.
Le groupe dirigé par Yannick Bolloré espère ainsi corriger sa décote de conglomérat, qui signifie que sa valorisation boursière globale est inférieure à la somme de ses parties.