Le Pen dénonce l'esclavage "moderne" comme le "trafic" de migrants
Marine Le Pen a dénoncé lundi, à l'occasion de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions, les formes d'esclavage "moderne" comme "le trafic d'êtres humains" en Méditerranée "qu'encouragent sous couvert d'humanisme dévoyé des ONG" d'aide aux migrants.
"Le trafic d’êtres humains organisé par les passeurs en Méditerranée et qu'encouragent sous couvert d’humanisme dévoyé des ONG financées par l’Union européenne participe de cet esclavage moderne", écrit dans un communiqué la présidente du Rassemblement national et candidate à l'Elysée, qui réclame un moratoire sur l'immigration.
Font aussi partie de l'esclavage "moderne", "les conditions de vie, de travail et de protection sociale indignes auxquelles sont soumises des masses de travailleurs déracinés ou exploités par des multinationales sans scrupules", ajoute-t-elle.