PARIS (Reuters) - Bruno Le Maire a déclaré mardi ne pas croire à des informations parues dans la presse, "malveillantes" à ses yeux, selon lesquelles certains dirigeants de Nissan examineraient le scénario d'un divorce avec Renault.
Les deux constructeurs automobiles ont démenti ces informations, publiées dimanche par le Financial Times, qui ont fait trébucher lundi le titre
RENAULT, tombé momentanément à son plus bas niveau depuis 2013.
A 9h17, le titre regagnait 0,84% à 41,00 euros tandis que celui de Nissan a clôturé en repli de près de 3% à Tokyo.