Rendre les cours plus interactif en questionnant les élèves via un smartphone, c'était l'idée de base de Wooclap. Lorsque la start-up belge s'est lancée en 2015, le concept plaît d'abord dans les écoles belges, puis très vite à l'étranger. "On a rapidement eu des des professeurs qui ont commencé à tester la plateforme, explique Sébastien Lebbe, fondateur de Wooclap. Et puis, les professeurs ont commencé à parler entre eux avec des universités étrangères, des journalistes et des blogueurs étrangers ont également parlé nous. Donc aujourd'hui, on a des les utilisateurs dans plus de 150 pays."En mai dernier, 100.000 professeurs à travers le monde utilisaient la plateforme. Aujourd'hui, 10 mois plus tard, ils sont plus de 200.000. "Beaucoup en Europe, que ce soit en Belgique, en France, en Espagne, en Italie, mais aussi aux Etats-Unis, au Canada, à Singapour et en Asie de manière générale."Amazone et
MICROSOFT parmi leurs clientsUne success-story belge qui pourrait enregistrer une croissance encore plus forte. Après les écoles, ce sont des entreprises qui ont contacté la start-up. Les géants américains
AMAZON et
MICROSOFT font notamment partie de leurs clients. "Dans l'objectif d'améliorer la qualité des formations, de les dynamiser ou de pouvoir mesurer la compréhension des apprenant... Ces entreprises utilisent Wooclap régulièrement."L'équipe compte un peu plus de 20 personnes. Leur objectif est devenir leader européen d'ici 2 ans.