La Grande-Bretagne cherche des alternatives au système Galileo, dit May
BUENOS AIRES (Reuters) - La Grande-Bretagne n'utilisera plus le système européen de navigation par satellite Galileo en matière de défense ou pour des projets d'infrastructures sensibles après sa sortie de l'Union européenne, a déclaré vendredi la Première ministre britannique Theresa May.
Selon le projet d'accord conclu en novembre entre Londres et Bruxelles sur leurs relations post-Brexit, la Grande-Bretagne n'a pas obtenu un accès garanti aux bases de données de l'UE en matière de sécurité, leur future coopération dans ce domaine restant donc ouverte à la négociation.
La Commission européenne a commencé depuis plusieurs mois à exclure le gouvernement et les entreprises britanniques des futurs travaux les plus sensibles sur Galileo, afin de protéger sa sécurité en prévision du Brexit programmé le 29 mars prochain.