par John Chalmers
BRUXELLES (Reuters) - L'Union européenne doit explorer les moyens juridiques dont elle dispose afin de sécuriser les approvisionnements en vaccins contre le COVID-19 précommandés dans le cas où les négociations avec les entreprises sur les retards de livraison s'avéraient infructueuses, a déclaré dans une lettre le président du Conseil européen.
Après
PFIZER, qui a annoncé le 15 janvier une réduction temporaire de sa production,
ASTRAZENECA a informé l'UE que ses livraisons seraient inférieures aux volumes convenus avec Bruxelles en raison d'un problème similaire.
Guère convaincu par les explications du laboratoire anglo-suédois, le bloc a demandé qu'une partie des vaccins destinés au Royaume-Uni soient attribués à l'UE, qui va de son côté renforcer les contrôles sur les exportations de vaccins à partir du continent.