La procédure intentée par l'ex-patron de
RENAULT Carlos Ghosn, qui réclame 250.000 euros au titre d'indemnité provisionnelle de départ à la retraite, doit être examinée le 21 février par le conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a-t-on appris mardi de source judiciaire.
La demande sera examinée en référé, une procédure d'urgence.
L'ancien patron de
RENAULT, installé au Liban après avoir fui le Japon où il est poursuivi pour malversations, a engagé une bataille judiciaire contre le constructeur automobile pour réclamer au total près de 800.000 euros de pension annuelle et quelque 15 millions d'euros en actions.